Mi aventura europea acabó hace algo más de un mes, estoy de nuevo en Barcelona. Gracias a una de esas cosas de la vida que ocurren no sé sabe como, tuve la oportunidad de escapar a un paraíso como el que buscaba. La única pega que he encontrado al revisar el antiguo texto es que no pude emborracharme... en la playa
.
Y bueno, sentí la necesidad de retomar la tonteria esta que escribí --según me parece-- hace siglos. Esta noche traigo una nueva versión/revisión:
El Tramvia de Brusel·les
Je ressens le besoin de fuire quelque part:
Un paradis chalureux et magnifique
Pour me soûler en fraternelle compagnie,
Des rires stupides et de la bière douce.
Tomber tout à coup dans un plage magique,
Puis me reveiller la bouche sèche, goût de sable,
Dos brûlé, mal de tête, mal de ventre.
Alors, et seulement alors;
Lorsque mon ami le brouillard disparaisse
Partant à travers la nuit et la pluie épaisse
En disant adieu, attends demain que je renaisse
Alors, et seulement alors,
Je prendrais le tramway de sept heures et quart.
Vers l'arrêt du numéro nonante je partirais,
Ne portant qu'une soulageante idée en tête:
L'odeur de la chaleur humaine me fera oublier
La sensation de porter toute ma robe mouillée.
Je ressentirais le besoin de fuire quelque part.
Alors, et seulement alors;
Quand on me demandera si ça va,
Mon regard, calmement, se perdra
Dans l'immensité noire du dehors
Pendant que mes lèvres dessinent
Un sourire à peine perceptible.
Alors, et seulement alors;
Je pourrais enfin répondre:
"J'ai connu des jours meilleurs".