Blackhand15 escribió:Blanki escribió:freakyanubis escribió:Me da la sensación de que la persona que ha hecho el análisis en Vandal lo ha hecho con un poco de mala leche. Porque vamos, es leer el de hobby y el de Vandal y han jugado a dos juegos distintos...
Totalmente. Vandal le da palos por todos lados y Hobby que es la evolución perfectas de la saga y apenas le ha sacado pegas, no se ha quién creer la verdas...
3djuegos igual que vandal
El juego se esta llevando bastante notas buenas y hablando bien de él
Metacritic 84% -sur PS5-
( 48 Positives / 5 Mitigées / 0 Négative )
JeuxActu 18/20
On s’attendait à un titre d’exception et Capcom ne nous a pas menti : Resident Evil Village est un grand jeu et surtout un excellent Resident Evil. Véritable mélange entre l’horreur du septième épisode et l’action méticuleuse du quatrième volet, ce nouvel opus résulte d’une expérience particulièrement bien calibrée et complète, elle-même découlant du savoir faire incontestable de Capcom en la matière. Le travail minutieux de la firme d’Osaka ces dernières années porte plus que jamais ses fruits et Village instaure alors une aventure à l’atmosphère lourde, à la technique clinquante et à la rejouabilité pertinente. Et même si le titre n’est pas exempt de petites coquilles - un dernier quart d’aventure un peu trop fougueux dans ses idées notamment, ainsi qu’une aventure plus courte que l’on imaginait - il n’en demeure pas moins un périple éprouvant, s’appuyant des mythes et légendes obscurantistes pour soigner son récit ténébreux. Un nouveau grand classique à ajouter à sa ludothèque, indubitablement, en attendant un troisième épisode pour boucler cette probable trilogie dédiée à la maudite famille Winters.
IGNFrance 9/10
Capcom a vu grand avec Resident Evil Village. Il s’agissait là de répéter le succès du passage à la première personne de la série, et de poursuivre l’aventure d’Ethan Winters. On prend un plaisir immense à suivre l’histoire d’Ethan, qui passe de p’tit nouveau au rang de personnage majeur de la série. Son périple bourré de rebondissements nous pousse à nous attacher à ce père prêt à tout pour sa fille, et arrivés aux crédits de fin, on ne peut s’empêcher d’être impatients d’avoir la suite. Mais Resident Evil Village se donne également pour objectif de proposer un voyage à travers l’histoire de la série et du jeu d’horreur en général, multipliant les surprises et les revirements d’ambiance, tout en ajoutant quelques éléments nouveaux pour enrichir encore davantage la proposition. Le résultat est bluffant à tous les niveaux, et une réussite totale. 25 ans plus tard, Resident Evil n’a pas pris une ride et n’a jamais été en meilleure forme.
Gamergen 17/20
Capcom continue sur sa lancée avec ce Resident Evil Village qui fait suite à Resident Evil 7: Biohazard. La firme s'inspire énormément du quatrième opus (ambiance, trame, mécaniques) pour proposer aux joueurs une nouvelle expérience plaisante, avec de légers défauts par-ci, par-là.
Chose fort agréable, les développeurs ne sont pas tombés dans la facilité en positionnant à tout-va des jump scare tout au long du jeu. Non, l'équipe joue avec notre respiration et notre rythme cardiaque, via des sons, des bruits, des effets en tout genre, pour nous oppresser et nous angoisser. Ce huitième épisode amuse comme il se doit, peut décevoir certains fans, mais l'univers est tellement burlesque et décalé qu'il est difficile de décrocher.
Millenium 85%
Malgré un ventre mou d'une poignée d'heures en milieu de partie, Resident Evil Village poursuit avec brio la voie tracée par RE7, en lui insufflant l'ADN de RE4 avec succès. Grâce à sa technique et à son récit (mais pas à sa narration), le dernier épisode canonique de la licence à succès de Capcom dispose de tous les arguments nécessaires pour plaire à la fois aux habitués de la série, mais aussi aux nouveaux venus. Une aventure d'une dizaine d'heures menée tambour battant qui va en faire voir de toutes les couleurs à ce cher Ethan Winters et que nous vous recommandons vivement.
Gameblog 8/10
Resident Evil Village parvient à faire de nombreuses choses à la fois : il est la suite directe de l'intrigue entamée dans Resident Evil 7 biohazard, un titre qui s'inscrit dans la mythologie générale de la saga, un épisode qui tente de surprendre en matières de narration et de gameplay (tout en proposant également des choses plus familières), et la nouvelle référence graphique de la série (mention spéciale à la gestion de l'éclairage). Les développeurs de chez Capcom étaient inspiré et cela se voit. Ce "Resident Evil 8" avance à un rythme effréné et ne laisse jamais le temps au joueur de s'ennuyer. Mais il n'en oublie pas pour autant bien faire stresser et sursauter le joueur. Les amateurs de Survival Horror au sens le plus strict du terme reprocherons peut-être au jeu sa dernière phase très linéaire et très (trop ?) orientée action. D'une manière générale, le constat global reste plus que positif. Pour les 25 ans de sa série vedette, Capcom lui fait un beau cadeau avec Resident Evil Village.
JVC 16/20
Plus abouti que son prédécesseur à qui il pique éhontément sa structure, Resident Evil Village est une expérience complète comblant avec une force tranquille toutes les cases nécessaires au succès d’un survival-horror en vue subjective orienté action. Bien qu’il puise ses inspirations du fond des oubliettes espagnoles appartenant au quatrième volet, le titre de Capcom parvient à tirer son épingle du jeu grâce à son ambiance teintée de fantastique originale pour la saga. L’absence impardonnable de réalité virtuelle et la présence d’un sentiment de “déjà joué” l’empêchent toutefois de prétendre au titre de chef éminent du village. Pas de quoi initier une querelle de clocher cependant : ce nouveau Resident Evil est une réussite.
JVLive 14/20
On pouvait craindre que Capcom ne rebascule dans l'action pour Resident Evil Village, et ça n'a malheureusement pas loupé! Penchant clairement du côté de RE4, plutôt que de celui de Resident Evil 2 (2019) ou Resident Evil 7, RE Village ne parvient pas à mélanger les deux dimensions qui sont pourtant là depuis les débuts. La flippe est absente et c'est un immense regret lorsque l'on pense à une certaine séquence qui montre que la peur aurait pu être de la partie avec de la bonne volonté. Les antagonistes valent clairement le détour (ainsi que leurs transformations)... mais sont très clairement sous-exploités, Lady Dimitrescu en tête, et témoignent aussi d'une communication en décalage avec la réalité. Très loin d'être le meilleur survival horror à ce jour - au hasard, le remake de Resident Evil lui passe le bonjour - ressemble davantage à un boss rush où les énigmes auraient pu être supprimées que nous n'aurions pas vu la différence. Des choses et des scènes intéressantes, oui à n'en pas douter, mais cet RE8 est trop irrégulier pour se hisser ne serait-ce qu'au niveau de RE7.
Gamekult 7/10